Conclusion:
Le stimulateur cardiaque est un instrument qui permit une chute considérable du taux de mortalité dans ce domaine, permettant par divers moyens au cœur de se contracter régulièrement, il permet la nutrition normale des différents organes.
Le prix d’un stimulateur cardiaque varie en fonction du modèle un pacemaker monochambre vaut environ 2 500 €, double chambre 3 200 €.En France il est pris en charge par la Sécurité sociale.
En compte en France (2004) 58 000 implantations. La moyenne d’âge des personnes nécessitant un pacemaker est de 72 ans, les personnes les plus concernées sont donc les plus âgées, mais pas seulement certains enfants dont le rythme cardiaque est perturbé portent un pacemaker.
Annexe: Le cœur artificielle.
Pour les cas le plus compliqués on greffe un cœur artificielle, cette technique est employée au stade terminal d'une affection cardiaque, il ne s’agit pas comme pour le pacemaker d’une seule partie qui est défaillante mais tout le cœur, et ceci dans l'attente qu'un cœur de donneur soit disponible en vue d'une greffe. Le cœur artificiel est une machine implantée chirurgicalement et reliée à une source d'énergie extérieure, assez volumineuse, limitant les possibilités de déplacement du malade.
Cette technique présente donc un certain nombre d’inconvénients, principalement celui que la pompe est actionnée de l’extérieur par l’intermédiaire de fils ou de tuyaux, ce qui représente une source importante d’infection et limite de façon considérable la mobilité du patient.
Le cœur artificielle a une structure semblable à celle du cœur il s’agit d’une pompe qui par un moyen électronique se contracte et envoie le sang dans le corps.
La technologie du cœur artificiel effectue un grand pas en 2001, avec la première greffe, aux États-Unis, d’un cœur artificiel autonome sur un patient en attente d’une transplantation cardiaque. Composé de plastique et de titane (pour les mêmes raisons que le pacemaker ce métal est utilisé car le corps n’y présente généralement aucune allergie), li est constitué d’une batterie interne, celle-ci se recharge régulièrement grâce à une batterie externe, par l’intermédiaire d’électrodes posées sur la peau. Ce cœur artificiel, appelé Abiocor, n’est donc pas muni de fils ou de tuyaux sortant de l’organisme, ce qui limite grandement le risque d’infections et permet une mobilité plus grande. Abiocor n’est cependant qu’un prototype dont l’autonomie est réduite (une demi-heure entre chaque rechargement), il ne permet donc la survie que pendant quelques semaines.
Implantation d’un cœur artificiel.